✃ Comment êtes vous arrivé au Road's Hope Hospital? T'étais un jeune homme, tu finissais l'école de médecine et l'internat t'attendait. T'avais envie d'ailleurs, envie d'aventure et de nouveaux horizons, alors tu as traversé la moitié de l'hémisphère ouest pour venir ici. Pourquoi le Road's Hope ? Tout simplement parce que c'est l'un des trois qui t'a proposé une place, et celui qui te plaisait le plus parmi ces trois. Les deux autres, respectivement à Seattle et Chicago, à vrai dire tu ne sais plus vraiment ce que tu leur reprochait, mais la vie t'avait semblé plus agréable à Los Angeles, ville pour laquelle tu as eu un vrai coup de coeur. Et pour cause, tu n'es plus reparti après la fin de tes études.
✃ Quels sont vos pires et meilleurs souvenirs dans cet hôpital ? Tu en avais entendu parler, cette sensation d'impuissance face aux caprices du corps humain, l'injustice criante lorsqu'un patient s'en sort et l'autre non, et la détresse lorsque tu dois annoncer une mauvaise nouvelle aux proches... Ton pire souvenir, probablement cette sensation d'écrasement lorsque tu as perdu ton premier patient. Outre le fait d'avoir échoué, tu pensais à cette vie qui s'était finie, que tu n'avais pas pu préserver, et ça t'avait fait douter de pas mal de choses, notamment ta capacité à exercer, à t'imposer une pression de tous les instants. Mais... tu l'as tout de suite aimé ce métier. Malgré la difficulté aussi bien technique qu'émotionnelle, tu as tout de suite aimé et été émerveillé des progrès de la science, de ce qu'on peut faire désormais pour soulager la douleur, lutter contre des symptômes gênants, des maladies qu'on ne connaissait même pas il y a de ça un siècle ou deux. C'est un peu de la magie pour toi, alors quand tu as tenu ton premier bistouri, tu n'étais pas peu fier.
✃ Comment voyez vous votre avenir aujourd'hui? Dans les couloirs de cet hôpital, avec le bip régulier des machines mesurant les signes vitaux. Tu te vois vêtir ces blouses bleues encore pendant un paquet d'années et tu te dis que même si tu t'es engagé dans ces études à contre-coeur, tu ne regrette pas finalement. Tu ne sais pas si tu auras des enfants un jour, avec ton rythme de travail effréné, ça ne te semble pas envisageable, mais qui sait...




Malgré toutes ces années passées aux USA, tu as conservé ton accent typiquement britannique, ce qui te donne, aux yeux de certaines patientes et même certaines femmes, un charme particulier. Tu le sais et tu en joues parfois. + Souvent, pour te détendre après une longue journée, tu aimes écouter, de la musique (jazz ou classique) sur le vieux gramophone de ta grand mère maternelle. Bien sûr, tu as un équipement plus moderne, mais tu aimes t'en servir. + ec + mettre ici des informations sur votre personnage, sur son passé ou sur ses habitudes. + mettre ici des informations sur votre personnage, sur son passé ou sur ses habitudes. + mettre ici des informations sur votre personnage, sur son passé ou sur ses habitudes.