No WorriesRegistersYour Dreams: TO DO
: Relationships
: Life› embauché le : 17/08/2016
› nombre d'opérations : 22
› pseudo : Myu
› célébrité : Matthew Daddario
 | | Sujet: AdopteunNate.com Mer 17 Aoû - 23:28 | |
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- Nathan Bowen -
your quote here.
+ nom et prénom : Nathan Bowen. + âge : 25 ans + date et lieu de naissance : 00/00/1991 à Los Angeles. + nationalité et origine(s) : Américaine . + profession/études : interne pour devenir un futur chirurgien plasticien. + statut civil : Libre comme l'air. + situation financière : Aisé. + groupe :Russian Roulette.
✃ Comment êtes vous arrivé au Road's Hope Hospital? Après avoir fait des études dans une prestigieuse Université s'appelant Harvard. Je fus finalement amené à conquérir le chemin de la grandeur dans l'hôpital de mon choix afin de pouvoir entamer mon internat en médecine. Mon choix fut aisément simple, étant donné que ma meilleure amie, suivant la même voie que la mienne, eut choisi le Road's Hope Hospital. Mon choix fut de la suivre.
✃ Quels sont vos pires et meilleurs souvenirs dans cet hôpital ? Mon pire souvenir fut d'atterrir dans cet hôpital au même titre que les autres nouveaux internes, c'est à dire, dans l'anonymat le plus ultime. Mon meilleur souvenir fut d'avoir la dernière assiette de frites au réfectoire un jeudi midi, après avoir eu une longue matinée difficile, pensant que je n'arriverais pas à temps pour échapper à la bouillie verte qu'ils appellent épinards, mais que je soupçonne être l'herbe verte fraichement coupée de la devanture de l'établissement.
✃ Comment voyez vous votre avenir aujourd'hui? Cartonner, devenir populaire, le chirurgien plasticien le plus huppé de l'hôpital, voire de la ville entière. Je vois les gens se battre pour avoir une place dans mes créneaux. Et je me vois devenir encore plus riche que je n'le suis déjà.
Beau Parleur + Dragueur + Malin + Souriant + Charismatique + Obstiné + Intelligent + Drôle + Joueur + Protecteur + Hyperactif + Imprévisible + Patient + Possessif + Loyal + Motivé + A de la répartie + Courageux + Rusé + Déterminé + Blagueur J'ai un rituel presque sacral le matin. Jour après jours, mon réveil sonne à quatre heures quarante cinq tapantes lorsque je ne suis pas de garde de nuit. Je me lève, m'étire longuement, me regarde dans le miroir une à deux fois sous toutes les coutures afin d'observer mon avancée vers la perfection. Je me dirige vers la cuisine, bois un verre de jus d'orange, ainsi qu'un mélange nutritif, à base de fromage blanc, de céréales biologiques, et de mûres. J'enchaine avec plusieurs pompes, plusieurs tractions, ainsi que quelques enchaînements d'altères, pour enfin me revigorer sous une douche brûlante, parcourant ma peau dans une course frénétique des courbes de mon corps, devenant presque indécente. J'arbore ensuite les plus belles pièces de ma garde robe, avec mes chaussures de marques toujours cirées, et ma coiffure impeccable, ma barbe toujours taillée au détail près par le barbier que j'ai choisi avec minutie. Mon sourire charmeur sur mes lèvres, je pars sur le dos de ma bécane sportive, et atterri avec allure à l'hôpital où j'observe subtilement, les infirmières et les médecins langoureusement.
Ma vie commença, et se terminera dans un hôpital. Du moins, c'est comme ça que je le perçois. Mon père est conseiller financier, dix fois titulaires du meilleur conseiller de l'état, ma mère, quant à elle, était une femme subtilement sexy, qui avait vouée sa vie à son unique fils, qui était moi, et son désir de jeunesse éternelle. Le fait était que ma vie ressemblait à toutes les vies des enfants de LA. La plage, les strass et les paillettes. La richesse abondante qui faisait mal au cul. La villa dans un quartier un peu reculé, avec la verdure, et les jardins de devantures de quarante kilomètres de large. Le chien, évidemment, et la mercedes dernier cri du nouveau riche. Dans mes plus jeunes années, je fus placé dans une école maternelle privée aux alentours de Long beach. S'ensuivi de près l'école primaire, où je rencontrai par mégarde, une petite fille aux cheveux d'ébène. April devint alors une amie chère. La meilleure même. Et ce lien demeura jusqu'alors, tandis que nous passions tout les deux le secondaire l'un avec l'autre.
En quelques sortes, je peux affirmer avec une quasi certitude que je me suis construis à son contact. Elle, plus qu'une soeur qu'une amie. Que je refusais de quitter tout bonnement. Et lorsque l'on est jeune, on se dit que la vie est longue, que les journées sont insoutenables, à la limite de l'infini. Mais maintenant que j'y pense, tout s'est déroulé plutôt vite. L'enfance se confrontais alors à l'adolescence, le rite de passage essentiel à l'âge adulte. La naissance de la virilité, la naissance de la féminité, et l'amour. Enfin, à cette époque, je pensais que c'était ça, l'amour. J'avais rencontré Kacey au lycée. Elle trônait au centre de la salle de classe telle une reine, avec sa trousse rose à paillette et ses boucles brunes qui retombaient délicatement à la naissance de son sein. Sa peau pâle demeurait un mystère, car le soleil permanent d' LA qui l'atteignait pourtant, ne semblait n'avoir aucun effet sur son teint de porcelaine. Et ses yeux, d'un bleu intense presque dérangeant, étaient soulignés de deux rangées de cils noirs, à la courbure flatteuse, qui caressaient ses joues d'une caresse presque divine. Et je me souviens de son sourire, son sourire qui émerveillait tout, étirant sa bouche en son extrémité, ses lèvres roses sublimées par un gloss rose pale qu'elle avait payé à Long Beach, dans une boutique de bord de mer. Son charme m'avait frappé de plein fouet, bafouant mon innocence d'un battement de cils. M'amenant à ressentir le désir d'un vice que je n'avais jamais connu auparavant. Un vice solitaire nocturne, dont j'avais honte de faire savoir son existence. Elle fut mon premier baiser. Ma première fois également, à l'âge de seize ans. C'était une nuit dans la villa de ses parents, ayant déserté la demeure pour un weekend romantique à Paris. Date de mon anniversaire, pour être précis. J'étais venu à moto, cadeau de mes parents, après que j'eu passé mon permis, évidemment. Elle m'attendait, allongée sur un transat sur le jardin à l'arrière de la maison, nue comme un ver, profitant des derniers rayons du soleil afin de pouvoir sentir la chaleur sur ses parties habituellement non exposées. Je ne m'arrêtai cependant pas sur son sein juvénile, ni sur sa féminité, qui pourtant, me faisait frémir depuis maintenant un an. J'observais surtout la pilosité de son sexe, inexistante. La jeune femme, imberbe, avait le corps d'une enfant à peine développée, ce qui provoqua en moi, une sensation étrange, frustrante. Je me mis alors à contempler son corps, l'imperfection de sa poitrine, l'un étant légèrement plus rebondit, l'autre plus rond. Mais elle s'était levée, m'ôtant à ma contemplation du corps féminin, et m'avait emmené dans sa chambre, où j'eu le plaisir d'étudier les courbes féminines, et où intérieurement, je pensais à la perfection du corps, tout en parcourant de mes mains ses courbes imparfaites. Et c'est là que j'ai su. C'est là que mon avenir jusqu'alors incertain devint limpide. Je voulais façonner de mes mains la perfection, la toucher de la pulpe de mes doigts. Signer de mon nom le corps symétrique d'une femme en devenir.
L'été arriva à grand pas, et ma relation avec Kacey demeurait, ennuyeusement parfaite. Nous étions brillants, beaux, sûrs de nous, en accord avec nous même et avec l'autre. Nos parents s'appréciaient, et nous appréciaient, et nous, on s'aimait. Mais alors que l'éternelle balade en bord de mer au coucher du soleil s'annonçait à l'horizon, April m'arracha à ma routine. Me demandant de venir au plus vite. Elle semblait excitée, heureuse à en mourir. Je n'avais pas beaucoup vu cette dernière ces derniers temps, me plongeant corps et âme dans ma relation avec la jolie brune aux yeux bleus. J'avais alors pris ma moto, avais déposé Kacey chez elle, l'avais embrassé quelques instants, pendant qu'elle tentait par des moyens critiques de me faire pénétrer en son antre, puis je suis parti. Pressé. Et c'est là que je l'ai vue. Cette inconnue au cheveux de feu. A la beauté explosive, qui tendait à entrer en compétition avec mon aimée. Elle semblait ardente, comme la braise dans un feu presque éteint, se battant pour sa luminosité. Il s'agissait de Kiera, la meilleure amie de ma brune, pour une fois, elle s'était déplacée jusqu'ici pour passer un peu de temps avec elle, et April, dans sa grande clairvoyance, avait tenu à me la présenter. heureuse initiative ou malédiction horrible ? Encore aujourd'hui, je ne saurais le dire. Mais je n'ai pu m'empêcher, pendant tout l'été, de la taquiner, la frôler de mes doigts. D'humer le parfum de son cou, d'observer ses cheveux flamboyants. Je ne faisais qu'observer sa perfection, car oui, je l'avais trouvé. Parfaite. Du bout de ses orteils jusqu'à la pointe de son cheveu. Elle était devenue cette obsession malsaine, qui animait mes nuits, que je provoquais le jour. Jusqu'à ce qu'une fois, alors que nous étions seuls, je l'avais saisi fermement, l'eau de la piscine ondulant entre nous. J'avais saisi la naissance de son postérieur, à la cuisse ferme. Ainsi qu'à la naissance de son crâne, sa nuque, blanche, et souple, dont les cheveux retombaient collants sur le dos de ma main, et l'avant de mon bras. J'avais planté mon regard dans le sien, et avais posé l'ultime baiser sur ses lèvres. Kacey hors de moi, Kacey tout simplement effacée durant quelques instants. Mais alors que je commençais à la désirer, le feu montant à mes extrémités. Je m'étais enfui, retournant auprès de celle qui pouvait assouvir ma faim de chair.
Par la suite, je ne l'ai plus revu, j'en avais oublié jusqu'à même son existence, tandis que je paradais avec Kacey, toujours plus belle, toujours plus sexy, mais toujours autant imparfaite. Je me concentrais sur mon avenir, mon désir de satisfaire ce besoin de créer la beauté. Tant et si bien que pendant nos ébats, je ne pouvais m'empêcher de penser à ces courbes disgracieuses qui me faisaient face, étudiant chaque possibilité, pinçant la chair, aplanissant les tissus. Et elle fini par me quitter, alors que j'entrai à Harvard, et elle à Yale. C'est là qu'elle est réapparue dans ma vie, comme si le destin l'avait mise sur mon chemin. Kiera et sa perfection, sa perfection qui m'avait tant troublé, retourné jusqu'à ne plus pouvoir penser qu'à ses courbes sans laideur lorsque j'arpentais mon ex. Et alors qu'elle se tenait devant moi, je ne pouvais supporter sa présence, m'enfuyant sous une excuse bidon afin de ne pas avoir à la croiser. Ma vie universitaire enchaîna les faits suivants, April, la fuite, la réussite, les cours, le sexe, les courbures généreuses américaines, le sexe. Encore. Toujours.
Et désormais, diplômé, désormais interne dans un hôpital réputé d'LA. Je ne pus m'empêcher de m'immiscer dans la vie d'April, ainsi que de Kiera. Vivant avec elles, j'ai l'impression de n'avoir jamais terminé ce pourquoi elle m'avait hanté si longtemps. Je voulais parcourir ses courbes, connaître la grâce de mes doigts, savoir avec certitude quel était un corps parfait. J'en avais besoin, c'était vital, une nécessité, pour moi, ma vie, ma carrière... Tout était en elle. + pseudo/prénom : Myu. + âge : 23 + où avez-vous connu le forum : Par Kiera. + suggestions : Nope + temps de connexion : Autant que possible. + votre personnage est-il un scénario : De Kiera jolie ! + un dernier mot : Tâtez mon sting. - Code:
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[color=palevioletred]MATTHEW DADDARIO[/color] → [i]Nathan Bowen[/i]
Dernière édition par Nathan Bowen le Jeu 18 Aoû - 1:12, édité 4 fois |
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| | Sujet: Re: AdopteunNate.com Jeu 18 Aoû - 12:42 | |
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- Félicitations -
Tu peux te rendre à l'hôpital !
Désolée pour l'attente, j'ai hâte de voir l'évolution du lien entre Kiera et Nathan, amuses toi bien ici 
Voilà, tu as réussi ! Tu as réussi à tenir le coup jusque là, tu es à présent dans l'enceinte de l'hôpital. Avant de pouvoir te lancer, corps et âme dans le RP, certaines choses sont à faire. Tout d’abord, il faut que tu vérifies que ton avatar a été recensé ici. Après, tu ne comptes pas te tourner les pouces toute la journée, tu as bien un petit métier, tu trouveras le recensement des métiers ici. Dormir ? De temps en temps, c’est essentiel, dormir dans la rue tu ne feras pas ! Viens créer ton logement par ici. Pour terminer, si tu as la moindre question concernant l'hôpital, n’hésite pas à en faire dans ce sujet. Tu es à présent libre de tes actes, cours, vole, sache que les administratrices seront à ton écoute. Nous te souhaitons un bon jeu parmi nous. |
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Bienvenue & bonne chance pour ta fiche 
! Je crois que tu as fait une heureuse... 
