Aujourd'hui, ces journées travaillent et travaillaient avec une gueule de bois ce n'est pas top. Je n'aurais en aucun cas dû aller, faire la fête hier soir. Je suis sortie dans un bar avec quelques amis et j'ai passé une soirée un peu trop arrosé, je suis rentré à minuit sage décision enfin quand on ne s'endort pas dans son entrée d'appartement à même le sol. Bref, le réveil avait sonner et j'ai dû me préparer pour aller travailler à l'hôpital. Je suis secrétaire en pédiatrie, je m'occupe des dossiers de les classer et toutes tâches administratifs. J'avais pris une douche pour me réveiller, et après j'avais fait un petit cocktail composer de bière, jus de tomate et œuf. Ce n'est pas très bon, mais cela enlève partiellement la gueule de bois et je n'oublie pas mon aspirine et ma vitamine C. Je me prépare et enfile un jean brut couleur bleu ciel, une chemise unie rouge et j'enfile mes escarpins noirs ainsi que mes bijoux. Je me coiffe d'une queue-de-cheval haute et je me maquille. Je prends mon sac à main, une petite veste que je garde dans mon sac à main et mes clés de chez-moi. Je sors de chez-moi en refermant en clé ma porte et je prends la direction du métro. J'ai le permis, mais j'aime énormément prendre le métro et marcher.
Après 20 minutes de transports, je m'arrête acheter un thé glacé ainsi qu'un muffin au citron. J'entre dans l'hôpital en saluant tout le monde, être la cousine d'un futur médecin et la nièce d'une chef de service apporte énormément de jalousies et de ragots. Ma réponse, je travaille avec le sourire, c'est une façon de dire que je m'en fous de ce qu'il pense. Je prends l'ascenseur toujours avec la même optique de travail. J'arrive au troisième étage, étage de la pédiatrie, j'entre dans mon bureau et enfile ma blouse blanche. Sur le sol, j'avais posé mon sac à main, j'avais ouvert la fenêtre pour aérer. Les murs de mon bureau sont violet pâle et fleuris de sticker colorer ce qui reflète bien qu'on est dans un service d'enfant. J'allume mon ordinateur et regarde le nombre de dossiers que je dois traiter me désespère. J'ai deux dossiers à classer, je dois prendre des rendez-vous dans différents services pour des enfants et préparer la sortie de trois enfants dont un pour un hôpital de campagne.
Je commence à travailler tout doucement, entre les coups de fil, les nouveaux dossiers à traiter et les visites de quelques personnes du corps médical. Dont un que j'avais gentiment envoyé promener, non mais les internes, ils se croient un peu trop des médecins sur humain et qui ont la science infuse. Puis il te parle vraiment mal parce que soit disant, ils sont de futurs médecins. J'aime bien les envoyer promener, c'est une distraction comme une autre surtout un lendemain de soirées. Cela rend ma journée moins ennuyante j'attends toujours avec impatience leur venue dans mon bureau histoire de me défouler. Il était à peu près midi, à fond dans mon travail sur un dossier que je dois impérativement classer puis que l'enfant sort aujourd'hui pour un autre hôpital de campagne. J'étais en train de vérifier le tout et il est complet. J'entends quelqu'un ouvrir la porte et sans lever la tête de mon dossier.

- J'espère qu'il ne manque rien sinon vous repartez comme vous êtes venus avec votre dossier...